Catégories
Consulting Digital & Business (FR) Digital Consultancy & Business (FR) Featured-Post-UX-UI-FR

Comment créer et organiser un Product Backlog et transformer sa roadmap en produit de façon agile

Auteur n°4 – Mariami

Par Mariami Minadze
Lectures: 20

Dans un contexte où l’exigence de livraison rapide et fiable se conjugue avec des projets IT de plus en plus complexes, le Product Backlog devient bien plus qu’une simple liste de fonctionnalités : il est le véritable moteur du delivery agile. Une roadmap vive et structurée sous forme de backlog facilite la priorisation des besoins métier, oriente les développements et permet d’anticiper les dépendances techniques. Pour les DSI de grandes structures et les équipes de transformation digitale, maîtriser ce levier est essentiel afin de déployer de la valeur à chaque sprint, tout en restant agile face à l’évolution des priorités.

Structurer un backlog agile, c’est poser les bases d’une livraison continue et maîtrisée

Un backlog bien structuré traduit la roadmap produit en chantiers opérationnels clairs et hiérarchisés. Il garantit la traçabilité des enjeux métier et la transparence pour tous les acteurs impliqués.

Définir le périmètre et le niveau de granularité

Chaque item du backlog doit correspondre à une valeur mesurable pour l’entreprise, qu’il s’agisse d’un besoin utilisateur, d’une amélioration technique ou d’une exigence réglementaire. Le découpage doit être assez fin pour être livrable en un sprint, mais suffisamment large pour préserver la vision stratégique de la roadmap. Un découpage trop grossier risque de générer des incertitudes sur l’effort réel, tandis qu’un découpage excessif alourdit la gestion et complique la priorisation.

Le Product Owner collabore étroitement avec les parties prenantes métier pour identifier les objectifs prioritaires. Cette démarche assure que chaque User Story ou épique porte un sens métier clairement documenté, limitant les allers-retours inutiles en phase de développement. Par conséquent, la granularité retenue facilite également l’estimation et le pilotage du progrès.

Dans la pratique, il est courant d’articuler le backlog autour de trois niveaux : les épiques pour regrouper de grands blocs fonctionnels, les fonctionnalités pour structurer le périmètre d’un sprint et les User Stories détaillées pour guider les équipes techniques. Cette hiérarchie, si elle est respectée et comprise de tous, devient un véritable fil rouge de la planification agile.

Un exemple révélateur vient d’une entreprise suisse du secteur horloger. Face à une roadmap dense, l’équipe IT avait d’abord défini des épiques centrés sur l’automatisation des processus de production, avant de décliner chaque élément en fonctionnalités et User Stories. Cette approche structurée a réduit de 25 % le nombre de tickets en clarification en backlog grooming.

Relier la roadmap produit au backlog opérationnel

Une roadmap traduit la vision à moyen et long terme, tandis que le backlog détaille les actions immédiates pour atteindre cette vision. L’articulation entre ces deux niveaux est cruciale : sans lien formalisé, la livraison risque de dévier des objectifs stratégiques. Les jalons et les dates-clés de la roadmap alimentent le backlog en items à prioriser.

Lors des cérémonies de planification, le Product Owner présente les éléments stratégiques issus de la roadmap, afin de guider le choix des User Stories à livrer. Cette synchronisation permet aux équipes déroulant les sprints de maintenir une cohérence entre le court terme et la trajectoire globale du projet. Elle sécurise également les arbitrages en cas de conflit de ressources ou de contraintes de délai.

Le raccordement s’opère souvent via des champs dédiés dans l’outil de gestion de backlog, favorisant le reporting et la traçabilité. Chaque item renseigne ainsi son origine roadmap, son niveau de priorité et son impact attendu. Cette discipline évite que les équipes se concentrent sur des tâches périphériques déconnectées des objectifs métiers.

Un projet mené pour un groupe bancaire illustre cette bonne pratique : la roadmap décrivait des jalons trimestriels pour l’ajout de modules de services en ligne, puis chaque trimestre a été décomposé en sprints alignés sur les livrables attendus. Résultat : un taux de conformité des releases aux objectifs stratégiques de 95 %.

Assurer la transparence et la compréhension partagée

Pour que le backlog soit un outil fédérateur, tous les acteurs — métiers, Product Owner, Scrum Master et équipes de développement — doivent s’approprier sa priorisation et son fonctionnement. Des revues régulières permettent de vérifier la compréhension des User Stories et d’ajuster le contenu avant le début d’un sprint. Cette phase d’alignement réduit le risque de malentendus et de rework en fin de sprint.

La granularité des descriptions, associée à des critères d’acceptation clairs, facilite également l’intégration de nouveaux membres dans l’équipe ou l’intervention de prestataires externes. Les éléments du backlog deviennent alors autoportants : chaque item documente son contexte, ses objectifs et les tests à réaliser.

La transparence s’appuie aussi sur un outil de backlog partagé et accessible : Jira, Azure DevOps ou équivalent. L’enrichissement collaboratif des items renforce l’appropriation et encourage les feedbacks précoces. Les groupes de travail hybrides, mêlant compétences internes et externes, en bénéficient particulièrement.

En évitant ainsi les silos et en cultivant une culture de la clarté, l’organisation gagne en agilité et en réactivité, ce qui s’avère déterminant dans les projets de transformation digitale d’envergure.

Construire votre backlog : formats, typologies et priorisation

La qualité d’un backlog se mesure à la pertinence des formats d’items et à la cohérence de leur priorisation. Un backlog bien conçu facilite la prise de décision et accélère la réalisation des objectifs métier.

Sélectionner les bons formats d’items

Le choix du format — User Story, Bug, Story Technique, Épique — doit refléter la nature de la tâche et son importance dans la valeur livrée. Les User Stories, centrées sur l’utilisateur, sont idéales pour décrire des besoins fonctionnels. Les stories techniques permettent de documenter des travaux d’infrastructure ou de refactoring sans diluer la vision métier.

Des critères standardisés assurent la cohérence des descriptions : en tant que [profil], je veux [objectif] afin de [bénéfice]. Ce canevas, s’il est respecté, facilite l’estimé et la validation. L’ajout de critères d’acceptation concis et mesurables évite les ambiguïtés.

Dans les environnements hybrides, on peut également recourir aux enablers pour préparer les prérequis techniques (prototypes, spike, preuve de concept). Chacun de ces formats doit être clairement identifié et classé afin de ne pas générer de confusion lors du backlog grooming.

Une filiale suisse d’un acteur industriel de taille moyenne a adopté ces formats lors de la refonte de son portail client. La répartition stricte entre neuf épiques métiers et quarante user stories a permis d’établir un planning fiable, diminuant de 30 % le temps consacré aux clarifications lors des plannings poker.

Catégoriser et découper pour optimiser la lisibilité

Un backlog trop long et mal structuré est incompréhensible. Le découpage en swimlanes ou en releases permet de regrouper les items selon leur zone fonctionnelle ou leur échéance. Cette catégorisation améliore la lisibilité et guide les choix lors des réunions de priorisation.

Le découpage en slices verticales (fonctionnalités complètes) est conseillé pour limiter les dépendances et garantir des livraisons à valeur ajoutée immédiate. Chaque slice offre un incrément fonctionnel testable et déployable, renforçant la motivation des équipes et la confiance des parties prenantes.

Les features transverses — sécurité, accessibilité, performance — trouvent leur place dans un backlog parallèle, piloté par le Product Owner en lien avec l’architecte technique. Cette gouvernance garantit que les évolutions répondent aux exigences non fonctionnelles sans perdre de vue la valeur métier.

Cette démarche a été éprouvée chez un groupe de services financiers en Suisse romande : la constitution de swimlanes dédiées à la conformité et à la performance a évité que ces sujets critiques n’entrent en compétition directe avec les évolutions métiers, tout en assurant leur suivi rigoureux.

Prioriser son backlog avec rigueur grâce à des critères clairs

La priorisation repose sur des critères partagés : impact métier, effort estimé, risque technique et alignement stratégique. La méthode RICE (Reach, Impact, Confidence, Effort) ou le WSJF (Weighted Shortest Job First) offrent des cadres pour pondérer et ordonnancer les items selon leur valeur relative.

L’utilisation d’un scoring quantitatif rend les arbitrages plus objectifs et réduit les débats interminables lors du sprint planning. L’indicateur global constitué de la somme pondérée des critères oriente la sélection des items pour chaque sprint backlog.

L’application de ces méthodes implique un travail de préparation en amont : collecte de données, évaluation des coûts et estimation du retour sur investissement potentiel. Un Product Owner aguerri anime ces ateliers de scoring pour garantir que la priorisation reste factuelle et exempte de biais.

Un constructeur helvétique de machines industrielles a mis en place un atelier mensuel de priorisation RICE. Résultat : la roadmap de six mois a été réajustée trois fois plus rapidement, avec une visibilité accrue sur les retours métiers et une réduction de 20 % du time-to-market.

Mettre en place un backlog modulaire et évolutif

Les projets de grande taille nécessitent un backlog modulable. L’introduction de composants réutilisables, d’epics décomposables et de templates de User Stories assure une uniformité et accélère la formalisation des nouveaux besoins. Cette modularité réduit également l’effort de maintenance du backlog.

Un backlog évolutif doit intégrer les retours des rétrospectives et les modifications de la roadmap. Les ajustements réguliers évitent l’obsolescence des items et préviennent l’accumulation d’éléments inactifs qui peuvent alourdir le pilotage.

La modularité se traduit aussi par la gestion de sub-backlogs : backlog produit, backlog de sprint et backlog technique. Chacun répond à un niveau de granularité spécifique et facilite la coordination entre PO, Scrum Master et équipes de développement.

Dans un projet mené pour une multinationale suisse du retail, la création de templates de backlog customisés pour chaque domaine métier et technique a diminué de 40 % le temps de préparation des sprints, tout en garantissant une cohérence transversale.

Edana : partenaire digital stratégique en Suisse

Nous accompagnons les entreprises et les organisations dans leur transformation digitale

Organiser le backlog grooming et faire vivre la liste des priorités

Le backlog grooming est un rituel clé pour maintenir la qualité, la pertinence et la clarté des items. Un backlog vivant s’ajuste en continu aux nouveaux besoins et aux retours terrain.

Planifier des sessions régulières et ciblées

Les séances de backlog grooming se tiennent idéalement chaque semaine ou toutes les deux semaines, selon le rythme des sprints. Elles réunissent le Product Owner, le Scrum Master et, ponctuellement, des experts métiers ou techniques. L’objectif est de passer en revue les items à venir, d’ajuster les descriptions, de lever les doutes et d’estimer les efforts.

Chaque session doit avoir un ordre du jour précis : historiciser les priorités, affiner les critères d’acceptation et redécouper les User Stories jugées trop volumineuses. Cette préparation évite que les équipes démarrent un sprint avec un backlog flou.

La discipline et la régularité garantissent un backlog toujours prêt pour le sprint planning. Les tickets sont validés, estimés et ordonnancés, rendant les réunions plus rapidement opérationnelles et productives.

Lors d’un projet pour une société helvétique de services digitaux, l’instauration d’une réunion de grooming de 90 minutes chaque mercredi matin a réduit de moitié le nombre de points ouverts en début de sprint, fluidifiant le planning poker.

Impliquer les parties prenantes et enrichir la définition

Pour affiner la compréhension fonctionnelle, il est utile d’intégrer ponctuellement des représentants des métiers, des architectes et des experts sécurité. Leurs éclairages permettent d’ajuster les contraintes, d’identifier les dépendances et de mesurer les risques.

Ce processus collaboratif renforce l’appropriation du backlog : chaque stakeholder voit son besoin pris en compte et contribue à la qualité des éléments décrits. Il engendre également une meilleure anticipation des goulots d’étranglement ou des verrous techniques.

La co-construction des critères d’acceptation et des scénarios de test diminue les allers-retours entre équipes et limite les surprises en phase d’implémentation.

Une entreprise de télécommunications a ainsi vu son taux de retour en sprint de 18 % diminuer à moins de 5 %, grâce à l’intégration systématique d’un expert sécurité en grooming pour tous les items à caractère sensible.

Utiliser les outils de backlog comme leviers d’efficacité

Les plateformes comme Jira offrent des fonctionnalités avancées : filtres dynamiques, champs personnalisés, épics éphémères ou permanents. Leur configuration sur mesure facilite la navigation et la mise à jour des items. Les workflows paramétrables assurent le respect des étapes de définition, de validation et de livraison.

L’intégration de plugins pour la cartographie des dépendances ou le suivi des métriques (Lead Time, Cycle Time) renforce la visibilité sur le flux de travail. Les tableaux de bord partagés partagent les indicateurs clés auprès des parties prenantes.

La mise en place d’automatisations — transitions conditionnelles, notifications, génération de rapports — libère du temps pour se concentrer sur l’analyse qualitative du backlog plutôt que sur des tâches répétitives.

Dans un contexte d’intégration complexe, une entreprise industrielle suisse a par exemple déployé un tableau Kanban couplé à des gadgets Jira pour visualiser les dépendances inter-équipes. L’outil a permis de réduire les blocages de 30 % et d’accélérer le passage des items d’un état à l’autre.

Alimenter le backlog avec les retours continus

Le backlog ne se limite pas aux évolutions planifiées : il intègre aussi les retours utilisateurs, les incidents de production et les besoins réglementaires émergents. Les processus de support et de maintenance doivent provoquer la création automatique ou semi-automatique de tickets à prioriser.

Le feed-back loop établi entre équipes de support, devOps et Product Owner garantit que les anomalies ou suggestions d’amélioration fusent directement dans le backlog. Cette réactivité contribue à maintenir la satisfaction des utilisateurs finaux et à éviter l’accumulation de dettes techniques.

La pratique d’un backlog unifié, où tous les flux entrants convergent, assure une vision holistique des travaux en cours. Elle facilite également l’arbitrage global lors des comités de pilotage IT.

Une institution financière a ainsi réduit de 40 % le délai de traitement des incidents critiques en automatisant la création et la priorisation des tickets issus du support, directement dans le backlog sprint.

Adapter votre backlog à la complexité des projets d’envergure

Les projets de grande ampleur nécessitent un backlog multi-niveaux et une gouvernance solide. La mise en place de KPIs et de revues transverse garantit une exécution cohérente et alignée.

Structurer plusieurs niveaux de backlog

Pour gérer l’échelle d’un programme ou d’un portefeuille de projets, on distingue classiquement le portfolio backlog, le product backlog et le sprint backlog. Chaque niveau répond à un horizon temporel et à des parties prenantes différentes, du comité de pilotage aux équipes terrain.

Le portfolio backlog regroupe les grandes initiatives métiers et les projets phares, tandis que le product backlog détaille les besoins d’un produit ou d’un service digital. Le sprint backlog, enfin, se concentre sur la granularité nécessaire pour un sprint.

Cette segmentation limite la surcharge cognitive des équipes et permet de prioriser selon l’impact stratégique, tout en conservant la capacité à itérer rapidement sur les fonctionnalités critiques.

Dans un consortium numérique suisse, cette organisation en trois niveaux a par exemple permis de synchroniser efficacement dix équipes agiles travaillant sur des micro-services interconnectés, tout en maintenant une vision unifiée pour la direction.

Mettre en place une gouvernance transverse

La gouvernance du backlog d’un projet d’envergure s’appuie sur un comité de backlog regroupant DSI, responsables métiers, architectes et Product Owners. Son rôle est de valider les priorités, d’arbitrer les conflits et de veiller au respect des principes agiles.

Des revues trimestrielles permettent de faire le point sur les avancements mesurés via des indicateurs et d’ajuster la roadmap en fonction des nouvelles contraintes ou opportunités. Cette réévaluation périodique évite que le backlog devienne obsolète face à l’évolution rapide du contexte.

La collaboration inter-équipes est facilitée par des cérémonies de synchronisation régulières (Scrum of Scrums) où les dépendances et les blocages sont débattus et résolus.

Dans une entreprise du secteur para-public suisse, l’instauration d’un comité backlog multidisciplinaire a quant à lui fluidifié les décisions et permis de réduire de 15 % le délai entre la demande fonctionnelle et le kick-off du développement.

Suivre et analyser les KPIs de performance

La performance du backlog se mesure à l’aune de KPIs tels que le lead time, le cycle time, le throughput ou le pourcentage d’items livrés par rapport aux prévisions. Ces métriques éclairent l’efficacité des processus et mettent en évidence les points d’amélioration.

Un monitoring continu de ces indicateurs, intégré au tableau de bord agile, guide les ajustements de capacité, l’affectation des ressources et l’optimisation des workflows.

L’analyse des trends sur plusieurs sprints révèle les variations de charge, les goulots d’étranglement et les anomalies dans la chaîne de livraison. Elle permet de prendre des décisions data-driven pour maintenir un rythme de delivery soutenable.

Une banque d’affaires a par exemple déployé un tableau de bord personnalisé regroupant lead time et taux d’achèvement des sprints. Grâce à ces retours, elle a pu rééquilibrer ses équipes entre backlog produit et backlog technique, améliorant son delivery de 20 % en trois mois.

Anticiper la dette backlog et les dépendances

Un backlog mal suivi peut générer une forme de « dette backlog » : items vieillissants, dépendances cachées, amélioration continue différée. Pour prévenir cet effet, il convient d’instaurer des revues d’obsolescence et de retraitement périodiques.

Les dépendances techniques ou fonctionnelles, identifiées dès la planification, doivent être explicitement renseignées dans chaque item. Des champs dédiés dans l’outil de backlog permettent de visualiser rapidement les liens et de prévoir les arbitrages.

Les pratiques de refactoring continu et de retraitement des user stories anciennes limitent l’accumulation d’éléments obsolètes. Elles garantissent un backlog dynamique, aligné sur la stratégie, tout en préservant la fluidité du delivery.

En maintenant un backlog « sain », les organisations s’assurent qu’aucun item prioritaire ne reste oublié et que chaque sprint apporte une valeur perceptible, même dans le cadre de projets complexes et multi-équipes.

Activez votre roadmap grâce à un backlog agile optimisé

Un backlog structuré, priorisé et actualisé en continu est le cœur battant d’une organisation agile. En alignant la roadmap métier avec une liste d’items claire et hiérarchisée, vous facilitez la prise de décision, limitez les goulots d’étranglement et gagnez en réactivité. Les rituels de grooming, les méthodes de scoring RICE ou WSJF, ainsi que la mise en place de KPI permettent un suivi précis des progrès et une adaptation permanente aux évolutions du marché.

Quelle que soit la taille ou la complexité de vos projets, chez Edana nos experts sont à vos côtés pour vous aider à structurer votre backlog, instaurer une gouvernance adaptée et déployer les bonnes pratiques agiles. Ils accompagnent vos équipes pour transformer votre roadmap en moteur de delivery performant et durable.

Parler de vos enjeux avec un expert Edana

Par Mariami

Gestionnaire de Projet

PUBLIÉ PAR

Mariami Minadze

Mariami est experte en stratégie digitale et en gestion de projet. Elle audite les présences digitales d'entreprises et d'organisations de toutes tailles et de tous secteurs et orchestre des stratégies et des plans générateurs de valeur pour nos clients. Mettre en lumière et piloter les solutions adaptées à vos objectifs pour des résultats mesurables et un retour sur investissement maximal est sa spécialité.

CAS CLIENTS RÉCENTS

Nous orchestrons des transformations digitales intelligentes et durables

Avec plus de 15 ans d’expertise, notre équipe guide les entreprises suisses dans leur transformation digitale en repensant leurs processus, intégrant des technologies adaptées et co-créant des stratégies sur-mesure. Nous les aidons à améliorer leur performance, réduire leurs coûts, accroître leur agilité et rester compétitifs sur le long terme.

CONTACTEZ-NOUS

Ils nous font confiance pour leur transformation digitale

Parlons de vous

Décrivez-nous votre projet et l’un de nos experts vous re-contactera.

ABONNEZ-VOUS

Ne manquez pas les
conseils de nos stratèges

Recevez nos insights, les dernières stratégies digitales et les best practices en matière de transformation digitale, innovation, technologie et cybersécurité.

Transformons vos défis en opportunités.

Basée à Genève, l’agence Edana conçoit des solutions digitales sur-mesure pour entreprises et organisations en quête de compétitivité.

Nous combinons stratégie, conseil et excellence technologique pour transformer vos processus métier, votre expérience client et vos performances.

Discutons de vos enjeux stratégiques:

022 596 73 70

Agence Digitale Edana sur LinkedInAgence Digitale Edana sur InstagramAgence Digitale Edana sur Facebook